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mardi 30 avril 2024

jacques halbronn Réflexions sur la Liberté du futur d'Aimée André et de Réalité astrale, vérités astrologique de Chsristiane Oger

jacques halbronn Réflexions sur La liberté du futur d’Aimée André ( genéve,1985) D’entrée de jeu, l’autrice prend le parti de travailler avec les planétes « lourdes » (p.16), ce sont elles qui ont « la destinée du monde » Et de parler, il y a 40 ans, de l’entrée en Scorpion de Pluton, d’où « l’intensification de ce danger de mort pour toute la planéte » car la signe du scorpion n’est-il pas le domicile de cet astre dont on ne suit le parcours que depuis moins d’un siècle? Pluton, nous précise l’autrice aura pénéré dans ce signe en 1988 et il y restera jusqu’en 1995. Mais de nous rappeler ausstôt qu’il convient d’examiner le ciel dans son ensemble et de ne pas se polariser sur un seul cycle! Aimée André va mettre à contribution Jupiter et Saturne, Uranus et Neptune (p;19). On nous indique qu’Uranus est entré en Sagiitaire en 1981 et qu’il y demeurera jusqu’en 1988. Il y a là tout un ballet, un orchestre planétaire qui nous joue une symphonie. Aimé André pointe les personnes nées entre 1939 et 1957 avec Pluton en Lion (ce qui est notre cas) On n’est pas ici chez André Barbault avec ses conjonctions, Aimée André suit chacun de « ses » planétes selon sa course zodiacale. C’est une autre méthode. Saturne, Uranus, Neptune « planétes soeurs » (p. 69) Il est possible d’ailleurs que l’ouvrage prenne le contrepied de l’indice cyclique de Barbaut, usant des mêmes planétes et qui avait annoncé pour le début des années 80 une troisiéme guerre ,mondiale qui embraserait notre Terre;, ce qui n’avait pas eu lieu quand elle publie en 1985. Nous arrêterons là notre lecture car cette astrologie là n’est décidément pas notre tasse de thé. Pas plus d’ailleurs que celle de Barbault qui se sert des mêmes « lourdes », de Jupiter à Pluton, soit trois nouvelles sur cinq! Une telle astrologie est, c’est le cas de le dire, assez « datée ». Elle a certes sa poésie, son lyrisme, sa cuisine gouteuse. L’autrice a adopté tout un langage, une langue, un lexique dont elle sait jouer avec une certaine délectation. Mais n’a -t-elle pas compris que l’astrologie devait en rester au ciel qui interpelle l’Humanité à l’oeil nu depuis des millénaires? Veut elle d’une astrologie qui aurait agi à notre insu ou bien croit elle que ces nouvelles planétes seraient apparues à notre conscience en une sorte d’Apocalypse? L’astrologie a vocation à décanter l’astronomie, à la dépasser, elle est le pôle masculin d’une astronomie féminine énivrée de ses découvertes, dont Aimé André est la représentante décomplexée, composant avec les 12 signes quelque « salade niçoise ». Abordons à présente une autre femme astrologue, Christiane Oger. qui demande « Quelles découvertes fait-on lorsque l’on étudie et compare les hommes et leur existence, en tenant compte des seules données objectives et mathématiques, en dehors de l’ADN, c’est-à-dire la position des planètes dans le ciel » On est ici dans l’astrologie « subjective » (féminine) de la personnalité et non plus dans de grandes considérations géopolitiques. « L’astrologie, nous déclare-t-elle « sert avant tout à se connaitre (p. 15) « Il y a autant de réalités que de cartes de naissance ». L’astrologie en s’appuyant sur l’astronomie acquiert une caution scientifique. IL n’est pas question pour Christine Auger de traiter des hommes et des femmes, car ce qui seul importe est la signature astrale mais en même temps comme son propos nous frappe par sa dimension féminine se complaisant et se rassurant dans la complexité. ‘Un taureau ne sera jamais un taureau » (p; 49) Il est significatif que la question du genre ne soit jamais posée par cette femme astrologue et cela nous confirme dans notre idée que le thème natal est un moyen de dépasser une telle identité, plus ou moins bien vécue; Oublions l’homme et la femme et ne considérons que le « thème »! si ce n’est que les planétes sont en quelque sorte sexuées (p.61) ce qui donne lieu à quelques clichés L’autrice nous met en garde contre toute tentation « réductrice » (p.110), « Il n »y a pas que le Soleil dans un signe ou l’Ascendant (..) mais l’ensemble des planétes ». A l’entendre, l’astrologie péserait plus fortement que l’environnement famiilial (p. 124) ou le genre. Les différences de thèmes, à la naissance vont jouer très tôt (p. 129) L’extérieur ne peut que révéler l’intérieur, entendez les données astrales, cet « ADN » L’autrice conclut que celui qui n’a pas été formé à l’astrologie ne peut l’appréhender correctement. Nous pensons au contraire que c’est à l’astrologie de se rendre abordable au prix d’une décantation mais alors l’astrologue n’aura plus de filet. C’est un cercle vicieux. Si ce n’est que si l’astrologie parvenait à séparer le bon grain de l’ivraie, elle n’aurait pas à craindre à jouer franc jeu, sans se trouver des échappatoires.

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samedi 27 avril 2024

jacques halbronn La méthodologie de ses "Mathématiques Divinatoires" 1983

jacques halbronn La méthodologie de ses "Mathématiques Divinatoires" -1983 Cela fait une quarantaine d'années que nous publiâmes ces "Mathématiques Divinatoires", titre étrange au demeurant, explicité par aucun sous titre ni même une quatriéme de couverture. L'ouvrage n'en est pas moins, à ce jour, largement répértorié sur Google. Il comporte une préface de Jean Charles Pichon en date de 1980. On s'intéressera à notre "Introduction", sous titrée " La science divinatoire" et que l'on pourrait comparer à une autre introduction parue trois ans plus tard intitulée "La pensée astrologique" (in réédition de l' Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact). Ce terme de "mathématiques" pose une problématique et débouche sur une méthodologie. D'emblée, d'ailleurs, nous parlons de "systémes divinatoires" et nous indiquons que l'on n'a pas à trancher quant à leur valeur par le biais d'applications pratiques. C'est là tout un programme. Nous citons Robert Jaulin pour ce qui est de la géomancie. Par la suite, dans le cadre de l'ethnométhodologie d'Harold Garfinkel (cf notre DESS Le milieu astrologique, ses structures et ses membres, avec Yves Lecerf de 1995, à Paris VIII), nous rencontrerons la notion d'ethno-savoir (cf notre article sur le web; Ethno-savoir et divination UNE APPROCHE LINGUISTIQUE ET ETHNOGRAPHIQUE DE LA DIVINATION A l'époque, dans ces années 80, nous étions engagés dans un cadre universitaire ( Lille III et Paris V Descartes) dans des travaux de linguistique et notamment à propos de la corruption des dispositifs, liés à l'emprunt, à la transmission et nous intitulâmes un de nos mémoires "Linguistique de l'erreur et épistémologie populaire". Nous traitions de la pathologie des épistémés. Entreprise de démystification, écrivions nous dans nos M.D. (p. 15) On pourrait parler d'un "pari", à savoir que par delà le caractère assez confus et épars des traditions, il y aurait un tableau d'un seul tenant, à l'instar d'un puzzle. A nous de restituer, de reconstituer un tel tableau, de démontrer son existence au prisme d'une mathématique, ce qui ravalait la pratique à une application bien plus qu'à une observation empirique sans appel revendiquée par les praticiens se targuant d'être des fils d'une expérience accumulée. La question qui se pose est celle de la détection de l'erreur. Il semble qu'il faille un talent particulier pour la mettre en évidence au sein d'un systéme si tant que celui-ci existe bel et bien; Car s'il n'y a pas systéme, il n'y a pas preuve de l'erreur. Cercle vicieux! Le praticien ou le locuteur peuvent véhiculer indéfiniment des techniques et plus celles-ci seront opaques, plus ils auront de mérite à les faire "marcher" Une trop belle ergonomie ne met pas en valeur l'opérateur car cela mettrait le savoir" à la portée de tous". Une astrologie trop transparente dans sa formulation serait quelque part contre-productive, génératrice de chomage comme dans le cas de la disparition des chauffeurs avec la démocratisation de la machine et cela vaut pour la machine à écrire et l'ordinateur aux dépens des sténo-dactylos! En ce qui concerne les langues, un de nos terrains d'investigation préférés, il y a évidemment de la résistance face à toute tentative de reconstitution de leurs fonctionnements. D'aucuns n'hésiteront pas à soutenir que tous ces savoirs sont le fruit d'évolutions et non de corruptions et qu'il n'y aurait aucune bonne raison de les réformer, c'est à dire de restituer leur "forme" première. C'est pourquoi nous avons développé la notion d'anthropolinguistique, c'est à dire l'idée selon laquelle nos sociétés ont beaucoup à apprendre de la connaissance de ces plans originels dès lors qu'ils nous donneraient la clef de leurs fonctionnements, ce qui n'est pas rien: Un savoir corrompu corrompt. Une langue incohérente abrutit, est toxique pour le cerveau. . C'est ainsi que nous avons pu montrer que le féminin devait être reformaté par le masculin: transmutation du plomb en or, selon un processus alchimique de réduction, de décantation, d'abréviation, qu'il y avait plus de consonnes que de voyelles dans l'alphabet, les voyelles venant compléter les consonnes, les parachever, tout comme l'équinoxe vient réguler le solstice, le Surmoi, le ça. JHB 27 04 24

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